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Sciences,
sport et
santé mentale

Estime de soi


Comme l'indique le tableau ci-dessous, l'estime de soi dépend (en partie) de 4 piliers différents liés au sport. S'améliorer sur un de ces piliers, c'est améliorer son estime de soi.
Nino & Al (2000)

Sport et émotions

Le sport (...) permet d’estomper le contrôle de soi et favorise l’expression d’émotions. (...) Pour que l’activité sportive participe réellement au relâchement émotionnel, il faut qu’elle n’ait pas d’incidence forte sur la vie « hors sport », et se bâtisse en rupture avec la routine quotidienne.
Aquatias (2003)

Stress & Anxiété

"Les personnes régulièrement actives physiquement tolèrent mieux le stress quotidien que les personnes moins actives. Elles sont plus optimistes et positives par rapport aux expériences de la vie et ont moins tendance à être anxieuses(...).Il faut avoir des capacités sportives 12% supérieures aux personnes peu actives.
Plante & Rodin (1990)

Schéma sain

Comment le sport influence notre cerveau ?

Cliente en bonne santé mentale, qui est bien

Séverine.D

Une fois par semaine un coach vient à mon domicile pour que je puisse finir sereinement ma semaine. Au programme ? Boxe pour se défouler puis yoga/pilate pour se détendre physiquement et mentalement. J'ai trouvé mon équilibre.

L’activité physique a des effets puissants sur le cerveau. Elle stimule la production de BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor), une protéine essentielle à la mémoire et à l’apprentissage [1]. Elle améliore aussi la neurogenèse-dans l’hippocampe, une zone clé pour la gestion des émotions et du stress [2].Faire du sport, c’est aussi calmer le mental : on réduit le cortisol (l’hormone du stress) et on libère de la dopamine et de la sérotonine, les hormones du bien-être [3].Enfin, des études montrent qu’une activité régulière améliore la concentration et ralentit le vieillissement cognitif [4]. Bouger, c’est nourrir son corps… et son esprit !

Sources :
[1] Gomez-Pinilla, 2008 – Nature Reviews Neuroscience
[2] van Praag et al., 1999 – PNAS
[3] Meeusen & De Meirleir, 1995 – Sports Medicine
[4] Erickson et al., 2011 – PNAS